Entre pixels et poésie, l’image s’éveille
Chaque création est une rencontre : instinct, algorithme et beauté synthétique.
Tout commence par un croquis
Tout débute avec un simple croquis. Quelques lignes esquissées, parfois rapides, parfois plus réfléchies, mais toujours porteuses d’une intention. Ce dessin est l’étincelle : il définit l’énergie, la composition et l’essence de l’image à venir.
La transformation par SORA
Une fois posé, ce croquis devient le point de départ d’un voyage numérique. Je l’importe et le confie à SORA, un outil d’intelligence artificielle capable de lire entre les lignes. Avec l’aide d’un prompt soigneusement formulé, je guide SORA pour qu’il comprenne l’atmosphère, les matières et l’émotion que je souhaite insuffler. L’IA interprète alors le dessin, le transforme, le sublime : elle ajoute des textures, suggère des lumières, propose des harmonies de couleurs que seul un dialogue entre l’homme et la machine peut produire.
La finition avec Photoshop
Mais l’image, aussi vibrante soit-elle à ce stade, n’est encore qu’une ébauche raffinée. C’est à ce moment-là que Photoshop entre en scène. Là, chaque détail est ciselé à la main. Je modèle les ombres, ajuste les contrastes, enrichis les nuances. J’y injecte des touches personnelles : une lueur discrète, un grain subtil, ou encore des éléments peints qui réintroduisent le geste humain dans cette œuvre hybride.
Naissance d’une œuvre hybride
À la croisée de l’esquisse intuitive, de l’intelligence artificielle et de la retouche minutieuse naît alors l’image finale. Unique, expressive, et fidèle à ma vision.